Après le magnifique Talisman du loup et l’ensorcelant Leina et le seigneur des amanites, le trio gagnant Dahman-Digard-Sarda revient en fanfare, et pour notre plus grand plaisir, avec La sorcière aux yeux de lune.
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Un livre avec une police adaptée pour les publics dys.
Ce recueil de poèmes nous emmène en voyage à travers le monde animalier. Se jouant des mots avec beaucoup de malice et de charme, l’auteure nous amène à découvrir le quotidien poétique des animaux de la ferme et de la nature.
Un livre pour apprendre à être autonome (habiletés sociales).
Ce bel ouvrage aux illustrations délicates propose aux enfant d’appréhender les différences de routines et rituels entre le jour et la nuit, le matin et le soir en comparant des points clés dans le déroulement d'une journée. Par exemple : le matin, on s'habille et le soir on met son pyjama ; certains s'animent le jour quand d'autres dorment…
Certains matins sont sans lumière et laissent la voie libre aux « brutes et aux petits malins ». Certains matins sont poussifs et derrière les vitres d’un bus-serpent, il y a des ailerons de requins. Certains matins obligent à avancer tout droit en serrant les poings. Certains matins asphyxient et semblent n’avoir pas de fin…
Éléphant trop gros, boa trop long, hérisson trop piquant : rien ne va chez les animaux !
Mais qui proteste ainsi : « Laissez-moi danser ! » ? Non, ce n’est pas Dalida. Oui, c’est décevant. Mais c’est presque (presque) encore mieux : Petit lapin, du fond de la grande forêt, rêve d’intégrer l’école de danse !
Blaireau adore les myrtilles. Voilà l’idée qu’il se fait d’une vie comblée : plein de myrtilles, encore des myrtilles, partout des myrtilles. Mais voilà qu’il rencontre une étrange (et délicieuse) inconnue, friande de framboises, plein de framboises, encore des framboises, partout des framboises. Blaireau va voir les autres animaux de la forêt et leur demande conseil : quelle est donc ce sentiment étrange qui naît en lui ? Peut-être bien l’amour…
Les excellents (et cultes) Dîner de Zuza, Chambre de Zuza, Zuza dans la baignoire, Encore un peu de Zuza ?, Zuza vous aime, Courage Zuza et Zuza ! sont compilés dans une belle réédition qui offre aux tout-petits lecteurs (et aux autres) toute l’étendue des aventures, frasques, petits déboires et grands projets de l’irrésistible Zuza.
En 1942, des avions britanniques de la Royal Air Force larguent sur l’Europe une cargaison singulière : ni bombes ni engins de mort, mais des papiers par centaines. Celles et ceux qui parviennent à s’en emparer découvrent Liberté, poème composé peu avant par Paul Éluard. Autour de l’anaphore « J’écris ton nom », le poète célèbre cette liberté si fragile et si menacée. L’éditeur Rue du monde propose en 2025 à 15 illustrateurs « d’ici et d’ailleurs » de s’emparer des strophes de ce texte célèbre.
A la lisière de la grande ville d’Ahnstarr, où s’étendent des buildings d’affaires et des enseignes commerciales à perte de vue, une poignée de déshérités survit modestement dans un bidonville insalubre. Mais les pelleteuses déployées par les autorités auront bientôt raison de ces cabanons de fortune. Les habitants cherchent une échappatoire à la catastrophe imminente. Parmi eux, le petit Timo, fils adoptif de Madame Friby, souffre d’une maladie inconnue, sans doute provoquée par l’air vicié de la grande cité. Un espoir demeure : la fleur de lilas-safran, originaire de Balanka, pays du bonheur, qui peut peut-être sauver Timo.
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