Coups de coeur - bdp49

A la lisière de la grande ville d’Ahnstarr, où s’étendent des buildings d’affaires et des enseignes commerciales à perte de vue, une poignée de déshérités survit modestement dans un bidonville insalubre. Mais les pelleteuses déployées par les autorités auront bientôt raison de ces cabanons de fortune. Les habitants cherchent une échappatoire à la catastrophe imminente. Parmi eux, le petit Timo, fils adoptif de Madame Friby, souffre d’une maladie inconnue, sans doute provoquée par l’air vicié de la grande cité. Un espoir demeure : la fleur de lilas-safran, originaire de Balanka, pays du bonheur, qui peut peut-être sauver Timo.

Au cœur d’une Régence anglaise fantasmée évoluent les huit rejetons de la famille Bridgerton : Anthony, Benedict, Colin, Daphné, Eloïse, Francesca, Gregory et Hyacinth. Ces fringants jeunes hommes et respectables donzelles sont mené(e)s d’une main de fer dans un gant de satin par Violet, vicomtesse Bridgerton. Son objectif ? Que ses huit enfants adorés fassent, comme elle, un mariage d’amour véritable, à une époque où l’on se passait la bague au doigt pour des motifs disons, plutôt logistico-financiers.

Cass, Fleur, Li, Lotte et Sophia sont cinq filles hautes en couleur. Unies par la sororité, elles sont entraînées au-delà de leurs limites lorsqu'une d'entre elles est attaquée.

La sortie d’un nouveau tome des Chiens Pirates est un événement en soi. Ce cinquième volume, retraçant les aventures loufoques et hilarantes des fameux vieux chiens de mer du majestueux et terrifiant Biscrock, trois-mâts fin comme un caniche royal, ne fait pas exception.

Dans la vaste et dense jungle du livre de cuisine végétarien, il faut généralement s’armer de patience, de flair, de dextérité et de deux cent trente-sept ingrédients que l’on ne trouve que dans l’arrière-boutique du Biocoop de Bormes-les-Mimosas le vendredi de douze à treize, sur réservation préalable, type flocon d’avoine maltée des Balkans (pas trop floconneux, les flocons), poudre de graines mi-germées du volcan Chachani (c’est au Pérou) infusées aux sels de jasmin, ou autres haricots azuki exclusivement récoltés à la main avec des pinces à épiler en bambou sans huile de palme par des mafiosos repentis la veille du solstice d’été dans l’ombre de la Chapelle Sixtine.

Mon nom est personne. Tels sont les mots retrouvés sur chacune des victimes d'un tueur en série qui sévit en Espagne, enveloppant le visage des morts d'un film alimentaire. Severo Justo, policier et ancien prêtre, est chargé de l'affaire. Il réunit une équipe hétéroclite : Dakia Fierro, psychiatre schizophrène, un hacker octogénaire et un médecin légiste qui communique avec les morts.